Le blog

Coworking, startup, blog… 2011 démarre fort

Tout d’abord, désolée pour cette petite pause hivernale qui s’est prolongée quelque peu en janvier… Il m’a fallu le coup de pied aux fesses de mon compère blogueur Bastien de Vicus pour redonner un coup de fraîcheur à Editorial Interactif. Pour ma défense, je tiens à préciser que ces dernières semaines ont été assez chargées et mon esprit n’était pas au blogging (eh oui, ça nous arrive aussi à nous blogueurs)… En plus de mes missions classiques de rédactrice web, j’ai poursuivi mon engagement bénévole auprès de trois projets qui me tiennent particulièrement à coeur :

- L’installation d’un espace de co-working à Lyon ( toutes les infos ici www.atelier-medias.org)
- Le développement du Lyon Bondy Blog
- L’organisation du Startup Weekend Lyon

Ces  initiatives ont toute un point commun : être des concepts internationaux, adaptables à un environnement local.  Au-delà d’être des projets passionnants, (tranchant totalement avec les organisations classiques d’antan), ces expériences (humaines et professionnelles) m’ont réconciliées avec la globalisation. Tout simplement car elles m’ont offert la possibilité d’agir au niveau local tout en rencontrant des personnes venant des quatre coins du monde. Ce type de projets a l’art de faire disparaître n’importe quelle frontière politique, culturelle ou linguistique. Bluffant !

Le coworking, le Bondy Blog (que nous espérons un jour exporter à New York et Montréal), ou le Startup Weekend ont cet avantage indéniable de créer de véritables communautés connectées à travers le monde entier. Le tout sans véritable tête de réseau qui exigerait de notre part une conduite particulière.

D’autres projets forts de cette philosophie sont en train de voir le jour partout dans le monde. Je ne saurais que trop vous conseiller d’en rejoindre un, en adéquation avec vos passions et vos centres d’intérêt. Vous ferez, peut-être, vous aussi l’expérience du wiki humain ;-)

 

* Pour compléter, je vous fais partager la définition du mouvement des Anonymous par un « anonymous ». Cela reflète bien l’état d’esprit de ces nouveaux mouvements de création (ou de contestation).

 » Anonymous est composé de plusieurs centaines de personnes. N’importe laquelle peut évoquer un idée, et personne (aucun chef) n’est là pour la contrôler. Tous les Anonymous trouvant cette idée mauvaise l’oublieront. Tous les Anonymous trouvant cette idée bonne la suivront, et parmi eux, chacun est libre d’apporter son aide d’une quelconque manière, mais personne n’y est forcé.

Cela marche de la même façon pour les sites ou les serveur IRC : chacun peut créer un serveur, et si les autres le trouvent utiles, ils s’y connecterons, sinon il tombera dans les oubliettes.
De plus, historiquement, toute personne ayant dit, ou même insinué qu’il avait un rôle privilégié, une quelconque autorité, ou un grade supérieur aux autres a été automatiquement banni.

En aucun cas une personne dira : “Attaquez Mastercard, c’est un ordre”. Par contre, tout un chacun peut dire : “Et si nous attaquions Mastercard ?” C’est comme cela que ça s’est passé. »

 

A lire aussi :
Le blog de Thierry Crouzet

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